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Titre : | Christianisme et vie publique : (Publications du Centre Protestant d'Etudes) |
Auteurs : | Franz-J. Leenhardt |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Genève [Suisse] : Centre Protestant d'Etudes, 1945 |
Format : | 128 p. |
Langues: | Français |
Note de contenu : |
I. LES FONDEMENTS DE L’ACTION Christianisme et temps présents. — Le devoir de penser. — Les deux questions de Dieu à l’homme et les deux dimensions de l’univers chrétien. — L’Eglise chrétienne vit en vase clos. — Elle n’a pas une vision nette des conditions réelles de la charité. — L’insuffisance de ses œuvres sociales. — La parabole du Bon Samaritain a une signification plus étendue. — Veut-on courir les risques de l’amour ? — Une adaptation moderne de la parabole du Bon Samaritain. — Le sens de l’action chrétienne; la foi et les œuvres. — La morale chrétienne n’est pas le moralisme des chrétiens. — Une morale humaine. — Les œuvres sont un témoignage de la foi; l’Eglise ne parle pas seulement par ce qu’elle dit. mais par ce qu’elle fait. — La lutte contre les puissances démoniaques modernes. II. L’HOMME. LE TRAVAIL. LE SALAIRE ET LA PROPRIÉTÉ Dieu seul parle bien de l’homme; le meilleur avocat de l’homme : Jésus-Christ. — L’homme connu comme Jésus- Christ le connaît. — La véritable égalité des hommes dans la vocation de Dieu. — La vie humaine et le travail. — « Cultiver et garder », ou le travail avec Dieu opposé au travail sans Dieu. — Le droit au travail. — Le choix du travail. — La vocation de l’homme au travail; la beauté du travail. — Le travail perverti. — La participation du travail à la gestion et à l’orientation de la production. — Le fondement du droit à la rémunération. — La propriété du produit du travail; ses limites. — Le droit de propriété reconnu au travail. — La propriété base de la liberté. — Dieu seul propriétaire. III. LA SOCIÉTÉ. LA FAMILLE. L’ÉCOLE Le christianisme est-il individualiste ? — La notion du prochain est dynamique; le prochain, c’est moi, à condition que je le devienne ! — Jésus a été le prochain par excellence. — L’Eglise Corps de Christ. — La réalité de l’Eglise et nos paroisses. — L’Eglise est une communauté. — La société et le droit. — Qu’est-ce qui caractérise le droit ? — L’autorité de la loi. — La loi et l’utilité sociale. — Le chrétien et l’organisation de la vie sociale. — Solidarité et fraternité. — La vie sociale nécessaire pour la nourriture matérielle et pour la nourriture morale. — Plasticité de la conscience de l’homme. — La vie sociale est une école; il n’est pas" possible que l’homme seul soit bon. — La famille est une école. — Christianisme et culture; culture chrétienne ou culture humaine ? — La crise de notre temps est morale. IV. L’ÉTAT ET LA CHOSE PUBLIQUE En quel sens l’Eglise fait de la politique. — L’action politique des chrétiens à titre personnel. — L’étude des ques¬tions politiques dans l’Eglise. — Annoncer Jésus-Christ comporte des responsabilités à l’égard de la cité terrestre. — La Bible n’est pas un manuel d’économie politique. — Tout état a son anthropologie, qu’il faut confronter à celle de Jésus-Christ. — Les conditions matérielles et morales de la vocation humaine. — L’état et le droit; l’autorité de l’état. — La mission positive de l’état. — L’ordre. — Le bien commun. — Convergence de la mission de l’état et des buts de l’amour fraternel. — Egalité et dignité. — Fraternité et solidarité. — La liberté chrétienne. — La liberté politique. — La limite des droits de la liberté, ce sont ses devoirs, — Le devoir de résister à un état qui se détourne de sa mission. EPILOGUE |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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FA 031 | FA 031 | Livre | Bibliothèque principale | Livres empruntables | Prêt possible Disponible |