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| Titre : | L'incroyance : Une chance pour la foi ? |
| Auteurs : | Arnaud Corbic, Auteur |
| Type de document : | texte imprimé |
| Editeur : | Genève [Suisse] : Labor et Fides, 2003 |
| Collection : | Nouvelles pistes |
| ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-8309-1072-8 |
| Format : | 100 p. / Bibliographie |
| Langues: | Français |
| Index. décimale : | QY/B (Athéisme; réponse chrétienne à l'athéisme) |
| Résumé : |
Dans cet essai idoloclaste, Arnaud Corbic rappelle l’enjeu d’un dialogue avec l’incroyance qui demeure massive au sein de notre culture « sans Dieu ». Incroyance et foi chrétienne sont-elles fondamentalement antagonistes ? L’indifférence religieuse traduit-elle réellement un désintérêt à l’égard de Dieu, une fois celui-ci dénudé de son habit de religion ?
Pour Arnaud Corbic, l’incroyance pourrait bien être, en fait, une chance pour la foi, car elle aide cette dernière à éliminer le superflu afin d’aller à l’essentiel : vivre, « devant Dieu et avec Dieu, sans Dieu », selon la formule paradoxale du grand théologien allemand Dietrich Bonhoeffer, dont l’auteur reprend pour une part les positions. Sa thèse s’inscrit dans un dialogue avec des penseurs, tels que Feuerbach, Marx, Freud, Nietzsche, Camus et Sartre, en vue de promouvoir, à la suite de Bonhoeffer, une théologie de l’incroyance et un christianisme non religieux. |
| Note de contenu : |
- Introduction
I. ÉCOUTER L’INCROYANCE - Préalables - Un bref parcours historique - Esquisse d’une élucidation du terme d’incroyance - Quelques personnalités typiques du monde de l’incroyance ou des incroyances : Feuerbach : la croyance comme projection et aliénation de l’homme / Marx : la croyance comme idéologie mystificatrice ou l’« opium du peuple » / Freud : la croyance comme illusion ou la revanche du désir sur la réalité / Nietzsche : la croyance comme mensonge sur la réalité ou « la religion comme athéisme » / Camus : un agnosticisme originaire, un athéisme pratique, un antithéisme révolté / Sartre : un existentialisme originairement athée. - Amorce d’une évaluation de ces critiques du christianisme : quelques constantes II. COMPRENDRE L’INCROYANCE - Athéisme et absence de Dieu dans l’Ancien Testament - Le Christ, Seigneur des non-religieux ? - L’interprétation non religieuse des notions bibliques - Le monde devenu majeur - Il nous faut vivre dans le monde - etsi deus non daretur - Devenir humain dans un monde « sans Dieu » - La Croix du Christ, fondement d’une théologie de l’incroyance - Conclusion - Bibliographie |
Exemplaires (1)
| Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
|---|---|---|---|---|---|
| QY/B 027 | QY/B 027 | Livre | Compactus | Livres empruntables | Prêt possible Disponible |
