Résumé :
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« Quel plaisir de reprendre mon Nouveau Testament grec et de découvrir que ces vieilles écritures se mettaient à revivre dans notre ancien langage. Marc écrit dans une langue simple, drue, forte, un peu paysanne. Il se trouve que le patois n’est pas une langue de grande littérature, pas une langue de savants, d’avocats ou même de pasteurs. C’est une langue pour dire les jours, les choses, les gens et le quotidien de la campagne. Elle convient à merveille pour traduire l’évangile de Marc. Qui raconte la vie et la mort d’un être parmi les autres : Jésus de Nazareth.
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